Je vous présente une petite merveille. (Là, là-haut,ci-dessus ☝, vous la voyez ?)
Je n’ai pas encore terminé de lire ce bijou. Je prends mon temps, je flâne. Je savoure chaque paragraphe car cette lecture est un vrai bonheur.
The Faerie Handbook est un livre pour les amoureux de la Féerie. C’est également un livre pour les esthètes. D’abord, rien que par sa couverture.
Je pense qu’elle est cartonnée et recouverte d’un tissu, mais je ne sais pas du tout lequel. Ce n’est pas le plus important de toute façon, n’est-ce pas ?
La beauté de cette couverture tient dans l’association des couleurs, violet et argenté, dans le graphisme et la manière dont le titre ou le résumé sont encadrés et disposé. J’aime beaucoup les colonnes qui font office de cadre. Tout de suite, on voit que le livre est de qualité.
Ci-dessus, je vous montre l’intérieur de la couverture. C’est superbe ! Rien que ces éléments font de ce livre un Beau-Livre, et ce n’est pas le plus beau.
Lorsqu’on ouvre The Faerie Handbook et qu’on commence à lire les premières lignes, on est tout de suite transporté. En tout cas, c’est le sentiment que j’ai eu et il se confirme au fil des pages.
Les textes sont de grande qualité, écrits avec élégance et d’une plume qui donne envie d’aller plus loin. À chaque paragraphe, chaque page, je veux lire un peu plus et me plonger plus profondément dans la Faerie.
L’abondance des illustrations et leur variété est une autre richesse de ce livre.
Ci-dessus, une illustration de Gustave Doré ( Fairy Land, Gustave Doré, 1881)
Petites maisons de fées, par Sally J. Smith/Greenspirit Arts
Photo de Katerina Plotnikova
(Les Fleurs Animées, J.J.Grandville, 1847)
(Midsummer Fairies, John George Naish, c. 1856)
Bonbons de fleurs de violettes
Ces images sont un court florilège de ce que le livre a à offrir.
J’avais hésité à l’acheter sous format électronique, parce que moins cher. Seulement, je trouvais dommage de ne pas profiter de toutes les possibilités de la version papier. Je l’ai donc commandé version papier et je m’en félicite. Cela vaut vraiment la peine, parfois, de débourser un peu plus.
Grâce à cela, je peux sentir la douceur du papier intérieur et l’infime rugosité de la couverture. Surtout, je peux humer l’intérieur.
Vous ne le faites jamais ça, ouvrir un livre pour en sentir l’odeur de ses pages ? Les livres ont tous une odeur, certaines sont repoussantes, d’autres agréables. Celle de ce livre fait partie des agréables pour moi. Elle a ce parfum qui me transporte vers des rivages lointains et imaginaires.
Attention ! Le livre est en anglais.
Intéressés pour l’acheter ? Vous le trouverez facilement sur Amazon ou sur Faerie Magazine. Ce sont d’ailleurs les éditeurs de ce magazine qui sont à l’origine de ce bijou.